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Culture : 415 dépouilles humaines des congolais emportés pendant l'époque coloniale se trouvent au musée de Tervuren en Belgique

415 est le nombre des restes humains des congolais découvert dans le musé de Tervuren en Belgique, a révélé Lies Busselen, doctorant en anthropologie et histoire lors d'une journée culturelle organisée le samedi 10 mai dernier, à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, au centre culturel Andrée Blouin.

 

Selon cette anthropologue, ces restes humains des congolais ont été emportés au Congo lors de la colonisation et traînent encore depuis lors en Belgique, au musée de Tervuren. Il sont estimés à près de 415 depouilles.

 

« Près de 415 dépouilles ou restes humains emportés de la RDC pendant l'époque coloniale, traînent encore dans le musée de Tervuren en Belgique », a déclaré Lies Busselen.

 

Elle indique par ailleurs, qu'aux années 1897 à 1960, à l'époque du gouvernement Belge, certains acteurs étaient financés par ce dernier pour des depouilles pour des fins de collection soit pour des études scientifiques au musée de Tervuren en Belgique.

 

Notons que hormis la collection de la Belgique, il existe également d'autres pays européens qui en possède.

M. Mukendi

Culture : 415 dépouilles humaines des congolais emportés pendant l'époque coloniale se trouvent au musée de Tervuren en Belgique
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AFFAIRE 39 MILLIONS : LE MINISTÈRE DES FINANCES TRANCHE, AUCUN PAIEMENT N'A ÉTÉ EFFECTUÉ [DOCUMENT]

Dans un communiqué rendu public ce lundi 12 Mai, le Ministère des Finances informe l'opinion publique qu'aucun paiement n'a été effectué, ni par le Trésor public ni à partir d'un compte relevant de sa gestion, en rapport avec un projet de construction d'une prison à Kisangani, tel que répandu sur les réseaux sociaux.

 

Ce dossier poursuit le communiqué, n'a été pris en charge ni de près, ni de loin par les services du Ministère des Finances.

 

S'il s'avère qu'un tel paiement aurait été effectué, suppose le communiqué, la source de financement serait donc ailleurs. Le communiqué rappele que, dans notre pays, il existe des comptes bancaires dédiés à des projets spécifiques et des comptes spéciaux, qui ne relèvent pas de la compétence du Ministre des Finances. 

 

C'est d'ailleurs pour résoudre cette problématique que la réforme en cours sur le Compte Unique du Trésor a été initiée par le ministère des Finances et approuvée par le Conseil des ministres, indique le communiqué.

 

Par ailleurs le communiqué fait savoir que depuis l'investiture du gouvernement Suminwa en Juin 2024, la République Démocratique du Congo a fait des avancées majeures en matière de lutte contre les détournements, la corruption et le blanchiment des capitaux, consolidant ainsi l'action du Président de la République.

 

Le Ministre des finances réaffirme mon attachement envers une gestion rigoureuse, transparente et crédible des finances publiques, conclut le communiqué.

 

LK

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KASAI ORIENTAL : LE GOUVERNEUR JEAN PAUL MBWEBWA KAPO MIS EN ACCUSATION POUR DETOURNEMENT

Lors de la plénière tenue ce samedi 10 mai, les députés provinciaux du Kasaï Oriental ont voté la mise en accusation du gouverneur Jean-Paul Mbwebwa Kapo. Ce dernier est accusé d'avoir détourné 3 millions de dollars envoyés par le pouvoir central dans le cadre d’investissements destinés à la province.

Parmi les 24 élus présents, 14 ont voté en faveur de la mise en accusation, tandis qu’un seul bulletin a été déclaré nul.

Des membres du gouvernement provincial sont également concernés et mis à la disposition de la justice congolaise.

Selon le règlement intérieur de l’Assemblée provinciale, un gouverneur mis en accusation dispose de 24 heures pour démissionner. Passé ce délai, il est considéré comme démissionnaire.

Cette décision est intervenue peu après le retour à Mbuji-Mayi du gouverneur, qui avait été convoqué à Kinshasa par le Vice-Premier Ministre en charge de l’Intérieur, Jacquemain Shabani.

KASAI ORIENTAL : LE GOUVERNEUR JEAN PAUL MBWEBWA KAPO MIS EN ACCUSATION POUR DETOURNEMENT
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Construction des prisons : Constant Mutamba sous des rumeurs de détournement, le Ministère de la Justice dément 

Le Ministère de la Justice a formellement démenti dans un communiqué, ce dimanche 11 mai, toute implication dans un supposé détournement de 39 millions de dollars américains liés à un projet de construction de prisons modernes en République démocratique du Congo.

Dans ce communiqué publié par le cabinet du Ministre d’État, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, les autorités dénoncent une « «campagne malveillante de désinformation» orchestrée sur les réseaux sociaux. Au cœur de cette polémique : une prétendue lettre émanant de la Direction Générale du Contrôle des Marchés Publics (DGCMP), faisant état d’un détournement présumé dans ce projet prioritaire.

« Il n’existe à ce jour aucun contrat signé de 39 millions USD, ni par notre ministère, ni par une autre structure étatique. Aucun décaissement n’a été effectué, ni à partir de notre compte, ni du Trésor public », précise le communiqué, qualifiant le document incriminé de « faux grossier » destiné à manipuler l’opinion.

Le Ministère affirme que toutes les procédures légales et administratives sont rigoureusement respectées, en collaboration étroite avec le Ministère des Finances, afin d’assurer une gestion transparente des fonds publics.

Estimant les accusations « diffamatoires », le Ministre d’État annonce le dépôt imminent de plaintes contre les auteurs de cette campagne, accusés de vouloir nuire à la réforme du secteur judiciaire et à la lutte contre la corruption menée par le Gouvernement.

Cette mise au point intervient dans un contexte où la modernisation des infrastructures pénitentiaires figure parmi les priorités de l’exécutif, dans le cadre de l’amélioration des conditions de détention et du respect des droits humains.

LK

Construction des prisons : Constant Mutamba sous des rumeurs de détournement, le Ministère de la Justice dément 
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RDC : JULES ALINGETI CEDE SA PLACE A BITASIMWA CHRISTOPHE

Dans une ordonnance lue ce soir à la télévision nationale, le Chef de l'État nomme BITASIMWA Bahi Christophe Inspecteur Général des Finances-Chef de service de l'inspection générale des finances en remplacement de Jules ALINGETI, l'homme des patrouilles financières. 

 

Tshibangu Nsenga Emmanuel est quant à lui, nommé Inspecteur Adjoint de l'inspection générale des finances.

RDC : JULES ALINGETI CEDE SA PLACE A BITASIMWA CHRISTOPHE
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RDC : POUR SA CONTRIBUTION FINANCIERE À L'EFFORT DE GUERRE, L'OGEFREM PAR SON DG REÇOIT UN TROPHÉE DE LA PAIX

C'est une cérémonie riche en couleurs de l'Arc-en-ciel ce Mercredi 07 Mai 2025 dans la salle des réunions de l' Ogefrem.

Cérémonie au cours de laquelle le conseil universel pour la paix des Nations et des continents, " culpac" en sigle, une organisation internationale, créée en 1979, dont le siège est à Bruxelles en Belgique a organisé une matinée patriotique sous le thème :" Paix durable en RDC".

Matinée au cours de laquelle le Directeur Général de l' Ogefrem William kazumba Mayombo a reçu, au nom de son Établissement un prestigieux Trophée pour la paix , un titre pour la paix durable et une médaille en reconnaissance de la substantielle contribution de l'ogefrem, à hauteur d'un million de dollars en guise d'effort de guerre le 6 Février 2025.

Ce geste de solidarité envers les victimes de l'agression rwandaise via le Mouvement terroriste M23 n'est pas passé inaperçu dans l'opinion publique nationale et internationale.

D'où cette initiative du Culpac de récompenser le Gestionnaire au quotidien de l' Ogefrem William kazumba Mayombo et l'ensemble du personnel de cet office, a déclaré Monsieur Daniel Saintu Biko, DG de cette organisation en présence de la Représentante de la Monusco Catherine Widtg , de la Marraine de la paix , Madame Liliane TEMUNI et leur conseiller diplomatique, Patrice SALAGA. Y étaient également présents Directeurs et agents de cet Établissement public, conseiller du Gouvernement en matière des transports.

Dans son mot de circonstance, le Directeur Général de l'ogefrem a rendu un vibrant hommage au Président de la République Félix Antoine Tshisekedi qu'il appelé le Premier artisan et pèlerin de la paix pour ses efforts politiques et diplomatiques pour restaurer la paix en RDC.

William Kazumba Mayombo eu des mots justes couchés dans le livre d'or de cette organisation internationale pour inviter la communauté internationale à éviter la complaisance et faire respecter le droit international face à l'agression rwandaise qui date de trois décennies.

C'est par une invitation adressée à l'ogefrem par cette organisation au parlement européen le 11 juin prochain et la photo de famille dans une ambiance conviviale que la cérémonie s'est clôturée.

RDC : POUR SA CONTRIBUTION FINANCIERE À L'EFFORT DE GUERRE, L'OGEFREM PAR SON DG REÇOIT UN TROPHÉE DE LA PAIX
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Affaire 2 Millions : le CNSA tord le cou aux allégations des ASBL EBUTELI, C.R.E.F.D.L et consorts

Cinglante! Le mot qualifie à juste titre la réponse réservée par, le Conseil National de Suivi de l’Accord et du Processus Électoral ( CNSA) aux allégations des Associations Sans Buts Lucratifs EBUTELI et C.R.E.F.D.L  tenues sur les ondes de la RFI dernièrement.

 

Cette Institution d’appui à la démocratie menée par Joseph Olengankoy après une plénière organisée mardi 6 Mai, dans un droit de réponse signée par Me Jean Boba Muteba ( Rapporteur de la commission) et Espérance Kwaza Navonga ( Rapporteure du CNSA), qualifie ces propos affirmant que le CNSA coûterait 2 millions de dollars américain au trésor national de mensonges propagés par des personnes de mauvaise foi.

 

Lisez, in extenso, ledit droit de réponse.

CNSA 1

CNSA 2

Affaire 2 Millions : le CNSA tord le cou aux allégations des ASBL EBUTELI, C.R.E.F.D.L et consorts
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KINSHASA: LE VPM SHABANI ANNONCE LE LANCEMENT DE TRAVAUX ANTI-EROSIFS SUR L'AXE LALU A NGALIEMA

Dans le cadre de ses attributions, notamment la gestion des catastrophes, le Vice-Premier ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières, SHABANI LUKOO BIHANGO J., s’est rendu ce mardi 6 mai dans le quartier Punda, situé dans la commune de Ngaliema, sur l’axe "Lalu", où une érosion de près de 3 kilomètres menace gravement les habitations et les infrastructures de cette zone de la capitale.

Cette descente sur le terrain visait à évaluer l’ampleur des dégâts et à annoncer les premières mesures d’urgence prises par le gouvernement pour enrayer la progression de ce phénomène, particulièrement actif en cette période de fortes pluies.

« Nous sommes en pleine saison des pluies, une période critique. Depuis un mois, les ministères impliqués dans la gestion des catastrophes sont en alerte maximale. Le METELSAT nous informe régulièrement des risques persistants. Il est urgent d’agir. J’appelle le gouverneur de Kinshasa, le bourgmestre de Ngaliema ainsi que le chef de quartier à convoquer sans délai des réunions élargies des comités locaux de sécurité. Ces cadres permettront de transmettre les instructions du gouvernement à la population »,
a déclaré le Vice-Premier ministre devant les habitants de Punda.

Il a également annoncé le début, dès cette semaine, des premières interventions d’urgence visant à stabiliser la zone affectée.

Accompagné du Ministre d’État, Ministre des Infrastructures, Alexis Gisaro, du directeur général de l’Office des Voiries et Drainage (OVD), ainsi que de plusieurs responsables, notamment ceux de la Cellule permanente d’alerte et d’urgence (CPAU), le VPM SHABANI a précisé que de grands travaux seront lancés après la saison des pluies afin d’apporter une solution durable à cette menace.

Cette initiative revêt une importance capitale, non seulement pour la protection des habitations environnantes, mais également pour la préservation de la Route nationale n°1, un axe stratégique reliant Kinshasa à la province du Kongo-Central, essentiel pour l’économie nationale.

LPP/CELLULE DE COM. MIN. INTÉRIEUR

KINSHASA: LE VPM SHABANI ANNONCE LE LANCEMENT DE TRAVAUX ANTI-EROSIFS SUR L'AXE LALU A NGALIEMA
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RDC-RWANDA : ENFIN UN PROJET D'ACCORD DE PAIX

Il s'agit encore de projet. Cette précision est de taille.

Les États-Unis ont confirmé, ce lundi 5 mai, avoir reçu un projet d’accord de paix entre la République démocratique du Congo et le Rwanda. L’annonce a été faite par Massad Boulos, conseiller principal pour l’Afrique au Département d’État américain, via une publication sur son compte X officiel.

« Je salue le projet de proposition de paix reçu de la RDC et du Rwanda », a déclaré le diplomate, qualifiant cette initiative de « pas important vers le respect des engagements pris dans la Déclaration de principes ». Il a également exprimé l’espoir de voir Kinshasa et Kigali poursuivre leur engagement pour la paix.

Ce projet d’accord fait suite à la « Déclaration de principes » signée le 25 avril dernier à Washington, sous médiation américaine.

Ce document visait à jeter les bases d’un accord global pour instaurer une paix durable dans la région des Grands Lacs, tout en favorisant le développement économique et en mettant fin au conflit armé qui déchire l’Est de la RDC.

Dans cette région, l’armée congolaise est en guerre contre le groupe armé M23-AFC, appuyé par le Rwanda, selon l’Onu.

Par ailleurs, cette dynamique diplomatique intervient alors que la RDC et les États-Unis discutent d’un partenariat stratégique sur les minerais critiques.

Ce partenariat pourrait permettre aux entreprises américaines un accès prioritaire à des ressources stratégiques telles que le cobalt, le coltan et le lithium, en échange d’un appui sécuritaire renforcé pour stabiliser l’Est du pays.

RDC-RWANDA : ENFIN UN PROJET D'ACCORD DE PAIX
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RDC : LA NOUVELLE SOCIÉTÉ CIVILE CONGOLAISE LANCE DES CONSULTATIONS POUR UNE ACTION JUDICIAIRE CONTRE LA SNEL

La Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC) a annoncé ce lundi 05 mai le lancement des consultations pour initier une action en justice collective contre la Société Nationale d’Électricité (SNEL), ainsi que contre les autorités complices, en raison de la dégradation continue du service d’approvisionnement en électricité dans la capitale et dans plusieurs autres régions du pays.

 

« Ouvre un registre officiel des plaintes pour recenser les victimes de la mauvaise qualité de service. La NSCC lance les consultations pour la constitution d’une action en justice collective contre la SNEL et les autorités complices », lit-on lire à travers un communiqué de presse.

La NSCC dénonce la situation désastreuse à laquelle les Congolais font face depuis plusieurs mois. Dans son communiqué, lu par son coordonnateur Jonas Tshombela, l’organisation de la société civile souligne, bien que la SNEL soit confrontée à des défis considérables, tels que la vétusté de ses infrastructures, l’augmentation démographique et l’extension anarchique des constructions, cela ne justifie en rien le calvaire que subit la population.

 

Les habitants sont confrontés à des coupures prolongées, des délestages hasardeux, ainsi qu’à des problèmes d’obscurité constante dans des communes censées bénéficier de l’éclairage public. La NSCC rappelle que « pendant ce temps, les abonnés continuent de payer chaque mois 1% de leur facture au titre de l’éclairage public, dont l’Hôtel de Ville de Kinshasa est le bénéficiaire direct ».

 

En dépit de ces problèmes, la nouvellesociété civile congolaise déplore l’absence de réponses claires de la part des autorités compétentes. Les factures de la SNEL continuent de se baser sur des estimations forfaitaires, une pratique qui viole directement l’article 27 de la Loi n°14/011 du 17 juin 2014, relative au secteur de l’électricité. Cela alimente le mécontentement des citoyens, qui, au lieu de bénéficier d’un service de qualité, sont contraints de payer pour des services non rendus.

 

« Mais rien de tout cela ne peut justifier le calvaire imposé aux citoyens coupures prolongées, délestages hasardeux, obscurité chronique, flambée de l’insécurité, services techniques absents ou incompétents », s’insurge la NSCC.

 

L’organisation insiste également sur le fait que des personnes non autorisées continuent de gérer des installations électriques dans certains quartiers, en violation du Code du Travail. Ces irrégularités soulignent davantage l’incapacité de la SNEL à offrir un service fiable et sécurisé, mettant ainsi en danger les vies et biens des Congolais.

 

Selon l’organisation, il est urgent de mener un audit public des finances liées à l’éclairage public et aux paiements des grandes entreprises, notamment minières, qui consomment des quantités massives d’électricité, mais dont les contributions à la SNEL restent opaques.

« Donne un ultimatum aux autorités compétentes dans le meilleur délai, faute de quoi des mobilisations citoyennes légales et pacifiques seront organisées à l’échelle nationale.Trop, c’est trop. L’électricité est un droit, pas un privilège », ont averti les membres de la NSCC.

La NSCC s’engage à continuer à défendre les droits des Congolais jusqu’à ce que des solutions durables et transparentes soient mises en place pour améliorer le service électrique dans le pays.

LPP

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RDC : Pourquoi Jules Alingete, Inspecteur Général des Finances, est-il la cible de nombreuses attaques médiatiques ? (Tribune de Didier Mbongomingi)

Depuis son arrivée à la tête de l’Inspection Générale des Finances (IGF), Jules Alingete est devenu une figure centrale de la lutte contre la corruption en République démocratique du Congo. Son engagement à contrôler les dépenses publiques et à dénoncer les détournements de fonds lui a valu l’appui de nombreux citoyens, mais aussi l’hostilité d’acteurs influents du pays. Pourquoi donc cette pluie de critiques à son égard ?



L’IGF, sous sa direction, a multiplié les audits et les enquêtes, révélant des irrégularités dans plusieurs domaines clés : gestion des fonds publics, projets d’infrastructures, et administration des sociétés d’État. Des révélations qui ont conduit à des poursuites judiciaires contre des fonctionnaires et des personnalités politiques de premier plan. Ces actions, bien qu’encouragées par l’opinion publique, ont dérangé certains groupes ayant profité du système opaque qui prévalait auparavant.

 

Ces attaques surviennent souvent après des publications sensibles sur l’usage des finances publiques. Face à ces critiques, Jules Alingete a toujours revendiqué son indépendance et sa détermination à œuvrer pour la transparence et l’intégrité financière du pays.

 

Les pressions exercées contre lui ne se limitent pas aux critiques publiques. Une campagne médiatique semble s’être mise en place pour affaiblir son image et remettre en cause la légitimité de son travail. Entre insinuations, accusations et controverses artificielles, certaines voix cherchent à détourner l’attention des véritables enjeux de gouvernance et de gestion des finances publiques.

 

Malgré ces attaques, l’IGF conserve un fort soutien populaire. De nombreux Congolais voient en cette institution un espoir de renouveau et de rigueur dans l’administration publique. À travers les réseaux sociaux, les médias indépendants et diverses tribunes, des citoyens continuent de défendre l’action de Jules Alingete contre les pratiques frauduleuses qui ont longtemps gangrené le pays.

 

En définitive, la bataille menée par l’IGF ne peut être réduite à une lutte personnelle. Elle s’inscrit dans un contexte plus large de quête de transparence et de responsabilité dans la gestion des ressources de l’État. Si les attaques contre Jules Alingete persistent, cela témoigne de l’importance et de l’impact de son action sur le fonctionnement du système. Le débat reste ouvert : faut-il encourager cette démarche de contrôle des finances publiques, ou au contraire y voir une approche controversée ?

RDC : Pourquoi Jules Alingete, Inspecteur Général des Finances, est-il la cible de nombreuses attaques médiatiques ? (Tribune de Didier Mbongomingi)
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Succession du pape François : l'Afrique peut-elle espérer?

La question de la succession du pape François suscite de nombreuses spéculations, et l'Afrique, avec sa riche diversité culturelle et religieuse, se retrouve au cœur de ce débat. Alors que le pontificat de François a été marqué par un accent sur la justice sociale, l'écologie et le dialogue interreligieux, l'éventualité d'un pape africain soulève des espoirs et des attentes au sein du continent.

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