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AGRESSION RWANDAISE: 107 MORTS ET 4000 ENLEVES, KINSHASA ACCUSE KIGALI DE CRIMES CONTRE L'HUMANITÉ

Dans un communiqué officiel, le gouvernement congolais à travers le Ministère de l'Interieur accuse l’armée rwandaise et ses alliés du M23/AFC de commettre des exactions massives contre la population civile dans les zones sous leur occupation. Les autorités qualifient ces actes de « crimes de guerre » et de « crimes contre l'humanité ».

Kinshasa hausse une nouvelle fois le ton contre Kigali. Dans un communiqué daté du mercredi 14 mai, signée par le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumières, le gouvernement congolais accuse l’armée rwandaise et ses alliés du M23/AFC de persister dans la commission d’actes constitutifs de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.

Selon le ministre Jacquemain Shabani, les forces rwandaises et leurs supplétifs continuent de commettre de graves exactions dans les zones qu’ils contrôlent à l’est de la RDC. Le bilan fait état de 107 assassinats, de plus de 4 000 hommes et jeunes garçons enlevés et emmenés de force vers une destination inconnue, sans oublier des centaines de cas d’exécutions sommaires, de viols, de tortures, de pillages, de restrictions à la liberté de circulation, ainsi que des incursions dans des structures sanitaires.

Le ministre déplore également l’installation, sur le territoire congolais, de familles rwandaises munies de cartes d’identité de leur pays d’origine. Selon lui, ces actes confirment les accusations d’épuration ethnique et de politique de repeuplement orchestrées par Kigali, maintes fois dénoncées par Kinshasa.

Autre sujet de préoccupation : du 10 au 13 mai 2025, l’armée rwandaise aurait mené une série d’opérations de traque contre des civils faussement assimilés aux FDLR, aux FARDC ou encore aux groupes armés Wazalendo. Ces opérations se seraient déroulées à Goma, dans le territoire de Nyiragongo et celui de Masisi, notamment dans les quartiers de Ndosho, Mugunga, Lac Vert, Katoyi, Majengo, Sake et Kimoka.

« Les faits cités ci-dessus, qui s’ajoutent à ceux déjà dénoncés par le passé, constituent une violation flagrante des instruments juridiques internationaux, notamment la Charte des Nations Unies, l’Acte constitutif de l’Union africaine, la Convention de Genève de 1951 relative à la protection des réfugiés, ainsi que la Résolution 2773 du Conseil de sécurité des Nations Unies », indique le communiqué du gouvernement.

Kinshasa dénonce également une chasse à l’homme ciblant des personnes bénéficiant du statut de réfugié dans les zones sous occupation.

Ces accusations interviennent alors que les discussions entre le gouvernement congolais et la rébellion du M23/AFC ont repris à Doha, au Qatar. Malgré une déclaration conjointe signée il y a deux semaines, les pourparlers restent au stade préliminaire, sans qu’aucune avancée concrète n’ait encore été annoncée.

LK

AGRESSION RWANDAISE: 107 MORTS ET 4000 ENLEVES, KINSHASA ACCUSE KIGALI DE CRIMES CONTRE L'HUMANITÉ
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Kinshasa : Interpellation ce matin d'un élémént de la GR ayant abattu 3 soldats PM au camp Babylone, à Kintambo

Kinshasa, 15 mai 2025 — Un drame s’est produit aux premières heures de la matinée dans la capitale congolaise. Aux environs de 3h du matin, un *militaire de la Garde républicaine a ouvert le feu sur trois soldats de la Police militaire (PM) au camp Babylone, les tuant sur place. Après avoir saisi leurs chargeurs, l’auteur présumé s’est *réfugié dans un chantier situé à l’angle de l’avenue Kivu, dans la commune de Kitambo.

 

Un important dispositif de la Police militaire a été déployé de 3h à 8h, avec des échanges de tirs et un quadrillage méthodique de la zone. L’opération s’est soldée par l’*interpellation du militaire* retranché, dont les motivations restent à établir.

 

Une enquête militaire a été ouverte pour élucider les circonstances exactes de ce triple homicide au sein des forces armées. La situation est désormais sous contrôle.

#InfosRdc360

Kinshasa : Interpellation ce matin d'un élémént de la GR ayant abattu 3 soldats PM au camp Babylone, à Kintambo
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RDC: FÉLIX TSHISEKEDI NOMME DES OFFICIERS ET SOUS-OFFICIERS AU SEIN DES FARDC

Dans une série d’ordonnances présidentielles rendues publiques ce mercredi soir à la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC), le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a procédé à d’importantes nominations au sein des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC). Ces nominations, qui s’inscrivent dans la dynamique de réforme et de professionnalisation de l’armée nationale, touchent divers grades, allant de sous-lieutenant à lieutenant-colonel.

 

Parmi les nommés au grade de sous-lieutenants :

 

Kayombo Lumanga John

Kasongo Mwamba Reagain

 

Les nommés au grade de Major :

 

Kazadi Muledi Claude

 

Parmi les nomminés au grade de lieutenants-colonels :

 

Kandolo Kayumbi Alain

Kabwe Ngandu Pierre

Ndala Kiabuya

Mutuza Kalinde Gabriel

Tabu Eboma Tema

 

Parmi les nomminés au grade de capitaines :

 

Mpoyi Kapiamba Henoc

Kalonji Tshikuta Magloire

Nyembo Salumu Freddy

 

Ces nouvelles nominations interviennent alors que l’armée congolaise reste engagée dans plusieurs opérations stratégiques pour la sécurisation du territoire national, notamment dans l’Est du pays.

 

Il convient de rappeler qu’en avril dernier, d’autres nominations avaient déjà été effectuées dans les rangs des FARDC, traduisant la volonté du chef de l’État de réorganiser et renforcer la hiérarchie militaire pour plus d’efficacité sur le terrain.

 

Avec ces nouvelles décisions, le commandement des FARDC espère insuffler un nouveau dynamisme au sein des troupes et renforcer la discipline et la rigueur opérationnelle à tous les niveaux.

RDC: FÉLIX TSHISEKEDI NOMME DES OFFICIERS ET SOUS-OFFICIERS AU SEIN DES FARDC
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Culture : 415 dépouilles humaines des congolais emportés pendant l'époque coloniale se trouvent au musée de Tervuren en Belgique

415 est le nombre des restes humains des congolais découvert dans le musé de Tervuren en Belgique, a révélé Lies Busselen, doctorant en anthropologie et histoire lors d'une journée culturelle organisée le samedi 10 mai dernier, à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, au centre culturel Andrée Blouin.

 

Selon cette anthropologue, ces restes humains des congolais ont été emportés au Congo lors de la colonisation et traînent encore depuis lors en Belgique, au musée de Tervuren. Il sont estimés à près de 415 depouilles.

 

« Près de 415 dépouilles ou restes humains emportés de la RDC pendant l'époque coloniale, traînent encore dans le musée de Tervuren en Belgique », a déclaré Lies Busselen.

 

Elle indique par ailleurs, qu'aux années 1897 à 1960, à l'époque du gouvernement Belge, certains acteurs étaient financés par ce dernier pour des depouilles pour des fins de collection soit pour des études scientifiques au musée de Tervuren en Belgique.

 

Notons que hormis la collection de la Belgique, il existe également d'autres pays européens qui en possède.

M. Mukendi

Culture : 415 dépouilles humaines des congolais emportés pendant l'époque coloniale se trouvent au musée de Tervuren en Belgique
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AFFAIRE 39 MILLIONS : LE MINISTÈRE DES FINANCES TRANCHE, AUCUN PAIEMENT N'A ÉTÉ EFFECTUÉ [DOCUMENT]

Dans un communiqué rendu public ce lundi 12 Mai, le Ministère des Finances informe l'opinion publique qu'aucun paiement n'a été effectué, ni par le Trésor public ni à partir d'un compte relevant de sa gestion, en rapport avec un projet de construction d'une prison à Kisangani, tel que répandu sur les réseaux sociaux.

 

Ce dossier poursuit le communiqué, n'a été pris en charge ni de près, ni de loin par les services du Ministère des Finances.

 

S'il s'avère qu'un tel paiement aurait été effectué, suppose le communiqué, la source de financement serait donc ailleurs. Le communiqué rappele que, dans notre pays, il existe des comptes bancaires dédiés à des projets spécifiques et des comptes spéciaux, qui ne relèvent pas de la compétence du Ministre des Finances. 

 

C'est d'ailleurs pour résoudre cette problématique que la réforme en cours sur le Compte Unique du Trésor a été initiée par le ministère des Finances et approuvée par le Conseil des ministres, indique le communiqué.

 

Par ailleurs le communiqué fait savoir que depuis l'investiture du gouvernement Suminwa en Juin 2024, la République Démocratique du Congo a fait des avancées majeures en matière de lutte contre les détournements, la corruption et le blanchiment des capitaux, consolidant ainsi l'action du Président de la République.

 

Le Ministre des finances réaffirme mon attachement envers une gestion rigoureuse, transparente et crédible des finances publiques, conclut le communiqué.

 

LK

AFFAIRE 39 MILLIONS : LE MINISTÈRE DES FINANCES TRANCHE, AUCUN PAIEMENT N'A ÉTÉ EFFECTUÉ [DOCUMENT]
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KASAI ORIENTAL : LE GOUVERNEUR JEAN PAUL MBWEBWA KAPO MIS EN ACCUSATION POUR DETOURNEMENT

Lors de la plénière tenue ce samedi 10 mai, les députés provinciaux du Kasaï Oriental ont voté la mise en accusation du gouverneur Jean-Paul Mbwebwa Kapo. Ce dernier est accusé d'avoir détourné 3 millions de dollars envoyés par le pouvoir central dans le cadre d’investissements destinés à la province.

Parmi les 24 élus présents, 14 ont voté en faveur de la mise en accusation, tandis qu’un seul bulletin a été déclaré nul.

Des membres du gouvernement provincial sont également concernés et mis à la disposition de la justice congolaise.

Selon le règlement intérieur de l’Assemblée provinciale, un gouverneur mis en accusation dispose de 24 heures pour démissionner. Passé ce délai, il est considéré comme démissionnaire.

Cette décision est intervenue peu après le retour à Mbuji-Mayi du gouverneur, qui avait été convoqué à Kinshasa par le Vice-Premier Ministre en charge de l’Intérieur, Jacquemain Shabani.

KASAI ORIENTAL : LE GOUVERNEUR JEAN PAUL MBWEBWA KAPO MIS EN ACCUSATION POUR DETOURNEMENT
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Construction des prisons : Constant Mutamba sous des rumeurs de détournement, le Ministère de la Justice dément 

Le Ministère de la Justice a formellement démenti dans un communiqué, ce dimanche 11 mai, toute implication dans un supposé détournement de 39 millions de dollars américains liés à un projet de construction de prisons modernes en République démocratique du Congo.

Dans ce communiqué publié par le cabinet du Ministre d’État, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, les autorités dénoncent une « «campagne malveillante de désinformation» orchestrée sur les réseaux sociaux. Au cœur de cette polémique : une prétendue lettre émanant de la Direction Générale du Contrôle des Marchés Publics (DGCMP), faisant état d’un détournement présumé dans ce projet prioritaire.

« Il n’existe à ce jour aucun contrat signé de 39 millions USD, ni par notre ministère, ni par une autre structure étatique. Aucun décaissement n’a été effectué, ni à partir de notre compte, ni du Trésor public », précise le communiqué, qualifiant le document incriminé de « faux grossier » destiné à manipuler l’opinion.

Le Ministère affirme que toutes les procédures légales et administratives sont rigoureusement respectées, en collaboration étroite avec le Ministère des Finances, afin d’assurer une gestion transparente des fonds publics.

Estimant les accusations « diffamatoires », le Ministre d’État annonce le dépôt imminent de plaintes contre les auteurs de cette campagne, accusés de vouloir nuire à la réforme du secteur judiciaire et à la lutte contre la corruption menée par le Gouvernement.

Cette mise au point intervient dans un contexte où la modernisation des infrastructures pénitentiaires figure parmi les priorités de l’exécutif, dans le cadre de l’amélioration des conditions de détention et du respect des droits humains.

LK

Construction des prisons : Constant Mutamba sous des rumeurs de détournement, le Ministère de la Justice dément 
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RDC : JULES ALINGETI CEDE SA PLACE A BITASIMWA CHRISTOPHE

Dans une ordonnance lue ce soir à la télévision nationale, le Chef de l'État nomme BITASIMWA Bahi Christophe Inspecteur Général des Finances-Chef de service de l'inspection générale des finances en remplacement de Jules ALINGETI, l'homme des patrouilles financières. 

 

Tshibangu Nsenga Emmanuel est quant à lui, nommé Inspecteur Adjoint de l'inspection générale des finances.

RDC : JULES ALINGETI CEDE SA PLACE A BITASIMWA CHRISTOPHE
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RDC : POUR SA CONTRIBUTION FINANCIERE À L'EFFORT DE GUERRE, L'OGEFREM PAR SON DG REÇOIT UN TROPHÉE DE LA PAIX

C'est une cérémonie riche en couleurs de l'Arc-en-ciel ce Mercredi 07 Mai 2025 dans la salle des réunions de l' Ogefrem.

Cérémonie au cours de laquelle le conseil universel pour la paix des Nations et des continents, " culpac" en sigle, une organisation internationale, créée en 1979, dont le siège est à Bruxelles en Belgique a organisé une matinée patriotique sous le thème :" Paix durable en RDC".

Matinée au cours de laquelle le Directeur Général de l' Ogefrem William kazumba Mayombo a reçu, au nom de son Établissement un prestigieux Trophée pour la paix , un titre pour la paix durable et une médaille en reconnaissance de la substantielle contribution de l'ogefrem, à hauteur d'un million de dollars en guise d'effort de guerre le 6 Février 2025.

Ce geste de solidarité envers les victimes de l'agression rwandaise via le Mouvement terroriste M23 n'est pas passé inaperçu dans l'opinion publique nationale et internationale.

D'où cette initiative du Culpac de récompenser le Gestionnaire au quotidien de l' Ogefrem William kazumba Mayombo et l'ensemble du personnel de cet office, a déclaré Monsieur Daniel Saintu Biko, DG de cette organisation en présence de la Représentante de la Monusco Catherine Widtg , de la Marraine de la paix , Madame Liliane TEMUNI et leur conseiller diplomatique, Patrice SALAGA. Y étaient également présents Directeurs et agents de cet Établissement public, conseiller du Gouvernement en matière des transports.

Dans son mot de circonstance, le Directeur Général de l'ogefrem a rendu un vibrant hommage au Président de la République Félix Antoine Tshisekedi qu'il appelé le Premier artisan et pèlerin de la paix pour ses efforts politiques et diplomatiques pour restaurer la paix en RDC.

William Kazumba Mayombo eu des mots justes couchés dans le livre d'or de cette organisation internationale pour inviter la communauté internationale à éviter la complaisance et faire respecter le droit international face à l'agression rwandaise qui date de trois décennies.

C'est par une invitation adressée à l'ogefrem par cette organisation au parlement européen le 11 juin prochain et la photo de famille dans une ambiance conviviale que la cérémonie s'est clôturée.

RDC : POUR SA CONTRIBUTION FINANCIERE À L'EFFORT DE GUERRE, L'OGEFREM PAR SON DG REÇOIT UN TROPHÉE DE LA PAIX
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Affaire 2 Millions : le CNSA tord le cou aux allégations des ASBL EBUTELI, C.R.E.F.D.L et consorts

Cinglante! Le mot qualifie à juste titre la réponse réservée par, le Conseil National de Suivi de l’Accord et du Processus Électoral ( CNSA) aux allégations des Associations Sans Buts Lucratifs EBUTELI et C.R.E.F.D.L  tenues sur les ondes de la RFI dernièrement.

 

Cette Institution d’appui à la démocratie menée par Joseph Olengankoy après une plénière organisée mardi 6 Mai, dans un droit de réponse signée par Me Jean Boba Muteba ( Rapporteur de la commission) et Espérance Kwaza Navonga ( Rapporteure du CNSA), qualifie ces propos affirmant que le CNSA coûterait 2 millions de dollars américain au trésor national de mensonges propagés par des personnes de mauvaise foi.

 

Lisez, in extenso, ledit droit de réponse.

CNSA 1

CNSA 2

Affaire 2 Millions : le CNSA tord le cou aux allégations des ASBL EBUTELI, C.R.E.F.D.L et consorts
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KINSHASA: LE VPM SHABANI ANNONCE LE LANCEMENT DE TRAVAUX ANTI-EROSIFS SUR L'AXE LALU A NGALIEMA

Dans le cadre de ses attributions, notamment la gestion des catastrophes, le Vice-Premier ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières, SHABANI LUKOO BIHANGO J., s’est rendu ce mardi 6 mai dans le quartier Punda, situé dans la commune de Ngaliema, sur l’axe "Lalu", où une érosion de près de 3 kilomètres menace gravement les habitations et les infrastructures de cette zone de la capitale.

Cette descente sur le terrain visait à évaluer l’ampleur des dégâts et à annoncer les premières mesures d’urgence prises par le gouvernement pour enrayer la progression de ce phénomène, particulièrement actif en cette période de fortes pluies.

« Nous sommes en pleine saison des pluies, une période critique. Depuis un mois, les ministères impliqués dans la gestion des catastrophes sont en alerte maximale. Le METELSAT nous informe régulièrement des risques persistants. Il est urgent d’agir. J’appelle le gouverneur de Kinshasa, le bourgmestre de Ngaliema ainsi que le chef de quartier à convoquer sans délai des réunions élargies des comités locaux de sécurité. Ces cadres permettront de transmettre les instructions du gouvernement à la population »,
a déclaré le Vice-Premier ministre devant les habitants de Punda.

Il a également annoncé le début, dès cette semaine, des premières interventions d’urgence visant à stabiliser la zone affectée.

Accompagné du Ministre d’État, Ministre des Infrastructures, Alexis Gisaro, du directeur général de l’Office des Voiries et Drainage (OVD), ainsi que de plusieurs responsables, notamment ceux de la Cellule permanente d’alerte et d’urgence (CPAU), le VPM SHABANI a précisé que de grands travaux seront lancés après la saison des pluies afin d’apporter une solution durable à cette menace.

Cette initiative revêt une importance capitale, non seulement pour la protection des habitations environnantes, mais également pour la préservation de la Route nationale n°1, un axe stratégique reliant Kinshasa à la province du Kongo-Central, essentiel pour l’économie nationale.

LPP/CELLULE DE COM. MIN. INTÉRIEUR

KINSHASA: LE VPM SHABANI ANNONCE LE LANCEMENT DE TRAVAUX ANTI-EROSIFS SUR L'AXE LALU A NGALIEMA
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RDC-RWANDA : ENFIN UN PROJET D'ACCORD DE PAIX

Il s'agit encore de projet. Cette précision est de taille.

Les États-Unis ont confirmé, ce lundi 5 mai, avoir reçu un projet d’accord de paix entre la République démocratique du Congo et le Rwanda. L’annonce a été faite par Massad Boulos, conseiller principal pour l’Afrique au Département d’État américain, via une publication sur son compte X officiel.

« Je salue le projet de proposition de paix reçu de la RDC et du Rwanda », a déclaré le diplomate, qualifiant cette initiative de « pas important vers le respect des engagements pris dans la Déclaration de principes ». Il a également exprimé l’espoir de voir Kinshasa et Kigali poursuivre leur engagement pour la paix.

Ce projet d’accord fait suite à la « Déclaration de principes » signée le 25 avril dernier à Washington, sous médiation américaine.

Ce document visait à jeter les bases d’un accord global pour instaurer une paix durable dans la région des Grands Lacs, tout en favorisant le développement économique et en mettant fin au conflit armé qui déchire l’Est de la RDC.

Dans cette région, l’armée congolaise est en guerre contre le groupe armé M23-AFC, appuyé par le Rwanda, selon l’Onu.

Par ailleurs, cette dynamique diplomatique intervient alors que la RDC et les États-Unis discutent d’un partenariat stratégique sur les minerais critiques.

Ce partenariat pourrait permettre aux entreprises américaines un accès prioritaire à des ressources stratégiques telles que le cobalt, le coltan et le lithium, en échange d’un appui sécuritaire renforcé pour stabiliser l’Est du pays.

RDC-RWANDA : ENFIN UN PROJET D'ACCORD DE PAIX
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RDC : LA NOUVELLE SOCIÉTÉ CIVILE CONGOLAISE LANCE DES CONSULTATIONS POUR UNE ACTION JUDICIAIRE CONTRE LA SNEL

La Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC) a annoncé ce lundi 05 mai le lancement des consultations pour initier une action en justice collective contre la Société Nationale d’Électricité (SNEL), ainsi que contre les autorités complices, en raison de la dégradation continue du service d’approvisionnement en électricité dans la capitale et dans plusieurs autres régions du pays.

 

« Ouvre un registre officiel des plaintes pour recenser les victimes de la mauvaise qualité de service. La NSCC lance les consultations pour la constitution d’une action en justice collective contre la SNEL et les autorités complices », lit-on lire à travers un communiqué de presse.

La NSCC dénonce la situation désastreuse à laquelle les Congolais font face depuis plusieurs mois. Dans son communiqué, lu par son coordonnateur Jonas Tshombela, l’organisation de la société civile souligne, bien que la SNEL soit confrontée à des défis considérables, tels que la vétusté de ses infrastructures, l’augmentation démographique et l’extension anarchique des constructions, cela ne justifie en rien le calvaire que subit la population.

 

Les habitants sont confrontés à des coupures prolongées, des délestages hasardeux, ainsi qu’à des problèmes d’obscurité constante dans des communes censées bénéficier de l’éclairage public. La NSCC rappelle que « pendant ce temps, les abonnés continuent de payer chaque mois 1% de leur facture au titre de l’éclairage public, dont l’Hôtel de Ville de Kinshasa est le bénéficiaire direct ».

 

En dépit de ces problèmes, la nouvellesociété civile congolaise déplore l’absence de réponses claires de la part des autorités compétentes. Les factures de la SNEL continuent de se baser sur des estimations forfaitaires, une pratique qui viole directement l’article 27 de la Loi n°14/011 du 17 juin 2014, relative au secteur de l’électricité. Cela alimente le mécontentement des citoyens, qui, au lieu de bénéficier d’un service de qualité, sont contraints de payer pour des services non rendus.

 

« Mais rien de tout cela ne peut justifier le calvaire imposé aux citoyens coupures prolongées, délestages hasardeux, obscurité chronique, flambée de l’insécurité, services techniques absents ou incompétents », s’insurge la NSCC.

 

L’organisation insiste également sur le fait que des personnes non autorisées continuent de gérer des installations électriques dans certains quartiers, en violation du Code du Travail. Ces irrégularités soulignent davantage l’incapacité de la SNEL à offrir un service fiable et sécurisé, mettant ainsi en danger les vies et biens des Congolais.

 

Selon l’organisation, il est urgent de mener un audit public des finances liées à l’éclairage public et aux paiements des grandes entreprises, notamment minières, qui consomment des quantités massives d’électricité, mais dont les contributions à la SNEL restent opaques.

« Donne un ultimatum aux autorités compétentes dans le meilleur délai, faute de quoi des mobilisations citoyennes légales et pacifiques seront organisées à l’échelle nationale.Trop, c’est trop. L’électricité est un droit, pas un privilège », ont averti les membres de la NSCC.

La NSCC s’engage à continuer à défendre les droits des Congolais jusqu’à ce que des solutions durables et transparentes soient mises en place pour améliorer le service électrique dans le pays.

LPP

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