Le dimanche 27 avril 2025, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l'Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières,
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20 ans de servitude pénale ont été requis à l’encontre de l’ancien Premier Ministre Matata
Dans la soirée du samedi 19 avril, aux alentours de 21h, un chef d’établissement a été froidement assassiné par balle devant son domicile situé sur l’avenue Katwe, au quartier Ndosho, en commune de Karisimbi.
La victime, Muhindo Mateene Jospin, Directeur des Études à l’Institut Tuungane, a été abattue par des hommes armés non identifiés. Selon un habitant joint par Actualité.CD, le drame s’est produit non loin du terrain Kabasha, dans la partie nord de Goma. Après avoir commis leur forfait, les assaillants se sont évanouis dans la nature, laissant les habitants dans la stupeur.
« C’est avec une profonde douleur que nous venons d’apprendre l’assassinat de Monsieur Muhindo Mateene Jospin, directeur des Études à l’Institut Tuungane de Goma ; mort tragique survenue à son domicile dans la nuit de ce samedi 19 avril à 21h00. Il fut un éducateur engagé, un modèle de rigueur, de passion et de dévouement pour la jeunesse.
Nous condamnons avec fermeté cet énième acte odieux et présentons nos sincères condoléances à sa famille tant biologique que professionnelle, à ses collègues et à toute la communauté éducative », a écrit le préfet des études de l’Institut Tuungane, Baseme Rwagaza, dans un message de condoléances.
Cette attaque ne constitue malheureusement pas un cas isolé. Le même soir, d’autres actes criminels ont été signalés dans divers quartiers de la ville. À Kasika, des hommes lourdement armés ont fait irruption dans plusieurs maisons, emportant des téléphones, de l’argent et d'autres biens de valeur. Un père de famille aurait été victime d’agressions physiques.
À Ndosho encore, vers 22h, une boutique a été la cible d’un braquage. Les malfrats ont emporté de l'argent liquide, des téléphones, divers articles et même la moto du propriétaire. À Kyeshero, près du parking Masisi, des habitants affirment que plusieurs foyers ont été visités par des bandits qui ont opéré sans être inquiétés.
Depuis le début de la semaine, la ville de Goma est en proie à une vague de criminalité sans précédent. Au moins sept personnes auraient été tuées, dont un père de famille et ses deux fils lors d'une attaque survenue le lundi 14 avril. Sa femme a été grièvement blessée.
Face à cette recrudescence de l'insécurité à Goma, les habitants expriment leur colère et leur inquiétude. Ils dénoncent le silence des autorités et réclament des mesures urgentes pour restaurer la sécurité dans les quartiers les plus touchés.
L'arrivée du groupe armé M23-AFC à Goma en janvier dernier semble avoir exacerbé la situation, étant donné que plus de 4 000 détenus de la prison de Munzenze courent toujours dans la ville. Depuis, les disparitions et les meurtres se sont multipliés, créant une atmosphère de peur et de méfiance parmi les habitants. Malgré cela, aucune mesure concrète n’a été prise par les nouvelles autorités pour endiguer cette vague de violence qui déstabilise la ville.
LPD/actualité cd
La justice congolaise franchit un nouveau cap avec la création prochaine d’une juridiction spécialisée : le Tribunal Pénal Économique et Financier. Cette décision majeure a été entérinée lors de la 40ᵉ session du Conseil des ministres, tenue à Lubumbashi le 18 avril dernier.
Le Ministère de l'Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières a dans un communiqué annoncé la suspension des activités du Parti de Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie conformément aux articles 29, 30 et 31b de la loi n° 04/002 du 15 mars 2004 portant organisation et fonctionnement des partis politiques, lit-on dans le communiqué.
Le Sursaut National constate avec profonde consternation que le Professeur Florimond Muteba Tshitenge, Président du Conseil d'Administration de l'Observatoire de la Dépense Publique (ODEP) fait encore et toujours lobjet des menaces graves.
Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont infligé lundi 14 avril 2025 une lourde perte au mouvement armé Convention pour la Révolution Populaire (CRP), de Thomas Lubanga, lors d'une attaque à Joo, situé près du lac Albert en territoire de Djugu.
Ils ont allègrement repris leur salle boulot. Ils blessent par manchettes et autresarmes blanches, ravissent les biens de paisibles citoyens.
Parmi les victimes les femmes. La semaine dernière sur l'avenue lutshatsha dans la commune de lemba, quartier de la foire, ces hors la loi ont attaqué une dame qui travaille aux affaires étrangères.
Elle avait sur elle un lot de 30 passeports des clients que les kuluna ont emportés après avoir ravi son téléphone et autres biens de valeur.
Un habitant du quartier présent sur le lieu s'est interrogé à voix audible: " Maintenant, où est passée la peine de mort? Ce n'était qu'un slogan creux? Aujourd'hui, on ne voit plus les kulunas être transférés dans des prisons de haute sécurité. Et la criminalité urbaine a repris de plus belle sans que les autorités ne disent mot. Te te te. Insécurité eleki..., "déclare cet homme d'une quarantaine révolue. Traduction : trop c'est trop avec l'insécurité à lemba.
Comme.on peut le constater, le désarroi de la population de la capitale est immense.
Pour rappel, des procès publics étaient organisés en procédure de flagrance. Aujourd'hui !
La Rédaction.
La Cour constitutionnelle a tenu le lundi 14 avril une audience publique dans le cadre du procès Bukanga Lonzo
L'état-major général des FARDC qualifie ces accusations d'"infondées et dépourvues de toute logique"